Tissus de ma mémoire ?
Pour commencer, un pardon èskisè-moi pour la qualité de ces photos prises de mon portable, pas très performant, et question technique pour gérer la mise en page et autres sur ce blog c'est dur (je débarque en la matière de ma planète où ces choses-là ne sont pas en vigueur).
Voilà quelques bribes de travail. C'était il y a deux-trois ans, avec les tissus africains : "Vas-y, lacère-nous, déchire, recompose, on est là pour ça". C'est ce que j'ai crû m'entendre dire.
Mes mains s'en sont donné à coeur joie, du lyrisme, du n'importe quoi, vas-y que je me suis mise à natter, nouer, tricoter, peut-être mue par des réminiscences d'une vie antérieure de chamane, qui sais ? en tous les cas, on a le droit de délirer, ou alors plus près dans l'histoire, à des morceaux d'enfance restée dans la forêt du Morne Rouge.
Bises à tous !